Vendredi 29 décembre dernier, AQUATIS Aquarium-Vivarium a accueilli son 100 000e visiteur
Tweet |
Ouvert depuis le 21 octobre 2017, AQUATIS Aquarium-Vivarium raconte l’histoire de l’eau douce et de l’humanité. Tout à la fois espace de loisirs, pôle d’éducation et plateforme d’échanges, AQUATIS Aquarium-Vivarium a d’emblée rencontré son public. À son service des technologies innovantes et interactives et des scénographies immersives pour mieux embarquer le visiteur… mais pas seulement : ses hôtes venus des 4 coins du monde sont ses plus beaux trésors.
UN ÉCRIN À LA (DÉ)MESURE DU PROJET
Le geste architectural, déjà séduit, avec ce graphisme circulaire, presque organique, et cette façade aux 100 000 disques en aluminium bercés au gré du vent. Mais c’est surtout ce qui se déroule en son sein qui a su conquérir les 100 000 premiers visiteurs, à mi-chemin entre lieu d’expériences et espace d’expositions.
Déployé sur 3 500 m² et deux niveaux, le parcours permanent invite à un voyage sur les cinq continents à la découverte des principaux écosystèmes d’eau douce et de leur faune et flore particulières.
Plus de 362 espèces de poissons, 100 reptiles et amphibiens venus du Vivarium de Lausanne et 300 espèces végétales sont ainsi à rencontrer au gré des 5 biozones et 12 milieux naturels, tous portés par une scénographie spécifique.
UN VOYAGE STUPÉFIANT
Projet unique en Suisse et en Europe, consacré aux écosystèmes aquatiques et au vivant, AQUATIS s’est annoncé de longue date comme appartenant à une nouvelle génération d’espaces alliant loisirs, découvertes et immersions, avec l’eau douce comme fil conducteur. Le projet était ambitieux ? Le résultat dépasse toutes les attentes.
Comment, avant de le traverser, imaginer qu’il est possible de revivre le phénomène des Grandes Glaciations ?
Comment, avant d’y grimper, penser qu’on puisse se retrouver projeté dans une fosse volcanique sous-marine d’il y a 60 millions d’années pour se trouver nez à nez avec un spinosaure de plus de 10 mètres de long ?
Comment, avant de les voir évoluer sous ses propres yeux, prendre toute la mesure de l’impressionnant Naga, dragon de Komodo, du ballet redoutable des piranhas, de la fausse lascivité des crocodiles sacrés ou de la placidité trompeuse de Wallace, le garpique alligator ?
Comment, avant d’en goûter la douceur, s’attendre à pénétrer en pleine forêt amazonienne pour écouter « l’Arbre qui commande à la pluie », entouré d’arbres géants, de cascades, de bassins sillonnés de myriades de poissons, d’iguane et autres reptiles étonnants ?
Racontant et montrant de manière inédite l’eau douce et les zones humides, la visite devient vivante, jamais figée, jamais immobile, et la relation avec le public s’en trouve transformée ; à la sortie, le regard porté sur l’eau douce est changé, plus sensible, plus averti, plus respectueux.
Maintenant que ses trésors lui ont été révélés, il est du devoir de chaque visiteur de les protéger.

Ceci est le contenu copié-collé du communiqué de presse officiel de son émetteur qui en assume l'entière responsabilité. TendanceHotellerie n'approuve ni ne désapprouve ce communiqué. Ce communiqué a néanmoins fait l'objet d'une vérification ce qui peut parfois conduire à un décalage de mise en ligne de quelques heures ou jours. br>
Des renseignements concernant l'insertion de votre lien et/ou votre logo et/ou votre image sont accessibles ici. br>
Dans le cadre strictement privé (voir les CGU) de la reproduction partielle ou intégrale de cette page, merci d’insérer la marque "TendanceHotellerie" ainsi que le lien https://suiv.me/8872 vers sa source
ou le QR Code accessible à l'adresse https://suiv.me/8872.qr . Voir le mode d'emploi. |
Recommander cette page
Tweet |