Former et manager des jeunes de la Génération Z : Une étude de SEG fait le point sur les bonnes pratiques
Tweet |
A l’occasion du 19e International Recruitment Forum, les 13 et 14 mars 2017 à Montreux (Suisse), Swiss Education Group (SEG) a dévoilé les résultats d’une enquête sur la Génération Z réalisée par Alexandra Broennimann, experte du comportement des consommateurs.
Nés après 1995, ayant toujours évolué dans un environnement ultra connecté, les jeunes Z sont peu idéalistes. Ils savent qu’ils devront travailler dur pour réussir. Parmi leurs handicaps, leur difficulté à fixer leur attention.
Hyper connectés et adeptes de la valeur travail
1er constat de l’étude : ces jeunes sont en symbiose avec la technologie et leurs mobiles sont une extension de leur corps. 2/3 d’entre eux disent qu’ils seraient moins productifs et moins heureux sans leur téléphone mobile.
2e constat : pour les jeunes Z, quelque chose qui existe online c’est quelque chose qui existe vraiment. D’ailleurs, les jeunes Z postent sur les réseaux sociaux 60% de leur vie sociale : dîners entre amis, évènements professionnels, soirées. Pour Alexandra Broennimann : « C’est comme si l’événement réel n’avait pas eu lieu tant qu’il n’est pas affiché dans les réseaux sociaux et validé par la communauté en ligne ». Idem pour les marques : les 3/4 des jeunes Z ne font pas confiance à une marque si elle est absente des réseaux sociaux.
Autres constats : la réussite professionnelle est essentielle pour les jeunes Z. Pour 70% d’entre eux, avoir beaucoup d’argent est le meilleur indicateur de réussite, qu’on obtient d’ailleurs uniquement grace à un travail acharné. Et pour 80% des jeunes Z, un bon job est préférable à une bonne relation sentimentale.
Engagés dans un projet, les jeunes Z sont performants
La capacité d’attention des jeunes Z en situation passive est de l’ordre de 8 secondes. Si l’activité leur plait, ils peuvent se concentrer jusqu’à 12 minutes au maximum.
Les employeurs des jeunes Z devront donc trouver le bon équilibre entre un encadrement adéquat et des challenges suffisamment stimulants. Alexandra Broennimann recommande aussi aux employeurs des jeunes Z de leur donner des occasions de s’engager dans des projets et des défis qui les stimulent.
S’agissant de formation, pour Florent RONDEZ, CEO de Swiss Education Group : « Pour lutter contre l’ennui qui ressentent les jeunes Z, nous avons reconfigurer nos enseignements. Par exemple, nos enseignants changent de sujet toutes les 20 minutes pendant les cours. Désormais, notre pédagogie est évolutive et très dynamique ».
Ceci est le contenu copié-collé du communiqué de presse officiel de son émetteur qui en assume l'entière responsabilité. TendanceHotellerie n'approuve ni ne désapprouve ce communiqué. Ce communiqué a néanmoins fait l'objet d'une vérification ce qui peut parfois conduire à un décalage de mise en ligne de quelques heures ou jours. br>
Des renseignements concernant l'insertion de votre lien et/ou votre logo et/ou votre image sont accessibles ici. br>
Dans le cadre strictement privé (voir les CGU) de la reproduction partielle ou intégrale de cette page, merci d’insérer la marque "TendanceHotellerie" ainsi que le lien https://suiv.me/7616 vers sa source
ou le QR Code accessible à l'adresse https://suiv.me/7616.qr . Voir le mode d'emploi. |
Recommander cette page
Tweet |