L’Hôtel de Montesquieu ouvre ses portes après un an de rénovation
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Luxe Confidentiel
Dans le VIIIe arrondissement de Paris, ce boutique hôtel emporte avec élégance vers l’Orient et l’Extrême-Orient. Dépaysement cosy, à deux pas des Champs-Elysées, du Faubourg Saint Honoré et du parc Monceau.
Rue Frédéric Bastiat, une artère tranquille,bordée d’immeubles haussmanniens. C’est ici que Suzanne Bontemps flashe sur le Daniel, Relais & Châteaux en vente. Dynamique, entreprenante, smart, après avoir travaillé dans la publicité pendant dix ans, élevée ses deux filles Juliette et Charlotte, Suzanne rêve de composer une petite collection de boutique-hôtels à son image.
En 2016, elle rachète, épaulée par son mari, le Charles V, rue Saint Paul dans le Marais. Le Daniel sera donc le second opus. Ce joli quatre étoiles, un rien fané, la séduit par sa localisation et ces quelques pièces de mobilier asiatique ravissantes qu’elle va acquérir en même temps que les murs.
Elles vont lui inspirer le fil conducteur de sa décoration « La Route de la soie ». Et lui souffler, en filigrane, un nouveau nom pour son dernier bébé, Le Montesquieu.
Le philosophe, écrivain des lumières est entre autres l’auteur des Lettres persanes, correspondance fictive entre deux personnages amoureux de l’Orient, dans le thème donc. Elle dégotte un buste imposant de Charles Louis de Secondat, baron de La Brède et de Montesquieu qui accueille aujourd’hui les hôtes.
Je n’ai jamais eu de chagrin qu’une heure de lecture n’ait dissipé
aimait à rappeler cet érudit.
Les nombreux livres choisis avec soin par Suzanne Bontemps, disséminés de-ci de-là, à la disposition des clients les incitent à se lover dans un canapé pour succomber à ce plaisir délicieux : lire, découvrir des personnages, des pays suggérés par les mots.
Un joyau repoli
Suzanne Bontemps, esthète, éprise de décoration, aimant peindre, parcourir les musées, cultivant l’art de bien recevoir, a métamorphosé le Daniel. Avec l’aide d’Elliott Barnes, architecte d’intérieur, qui jouant entre ombres et lumières redéfinit les espaces, les sculptent, elle a redonné de l’allure à l’ensemble. Un an de fermeture, un an de travaux mais le jeu en valait la chandelle.
Le Montesquieu mérite aujourd’hui plus que quatre étoiles.
L’immense lobby entièrement repensé, découpé par le jeu du mobilier et de la lumière, offre désormais des espaces très intimistes pour se relaxer au retour d’une balade, prendre le thé, savourer un verre, lire, se retrouver entre amis. Avec, à disposition un honesty bar, charmant, convivial. On se sert, on note !
Exit le restaurant triste, place, en continuité du lobby, à un espace petit-déjeuner lumineux, proposé en buffet. A l’envi, les personnes extérieures sont bienvenues pour un petit-déjeuner, un tea-time, un cocktail, quelques bulles de champagne.
Le Montesquieu devient peu à peu un lieu de rendez-vous prisé après une séance shopping entre amis, une exposition au musée Jacquemart André ou au Grand Palais tout proches, voire pour quelques échanges professionnels.
Sommeil d’ange
Un tour de clé, une vraie en métal, comme dans une maison particulière, et non un bip de carte magnétique, révèlent les 15 suites et les trois chambres mansardées. Qu’elles soient côté rue, avec pour certaines un balcon filant et vue sur la tour Eiffel, ou côté cour, très calmes, elles sont toutes grandes, très lumineuses et faciles à vivre. Parées de moulures restaurées par un artisan, maquillées en trois tonalités, terre de Sienne, paille et bleu ardoise, avec des papiers peints Elitis, des textiles texturés et d’amusantes astuces déco, elles dessinent un cadre reposant, style hôtel particulier. Meubles et bibelots chinés s’y marient harmonieusement aux pièces plus contemporaines, canapés, fauteuils, et transportent vers des ailleurs lointains, d’autres horizons.
La literie de grande qualité enveloppée de draps doux, le menu d’oreillers, garantissent un sommeil sans faille. Mention spéciale pour la suite PMR adaptée avec doigté et délicatesse, conçue avec le même souci esthétique que les autres suites.
Les salles de bains, aux dimensions plus que confortables, se parent de vastes douches, de baignoires pattes de lion posées au cœur de la pièce, ou encastrées, design. Les produits de courtoisie, signés Sothys, Maison française, soulignent davantage encore le côté parisien, exclusif.
Et comme dans un cinq-étoiles, qu’il pourrait être compte tenu de ses prestations, le Montesquieu propose aux sportifs une salle de fitness et aux gourmands un room-service concocté avec la complicité de deux restaurants voisins de qualité.
En parallèle, l’adorable concierge chuchote les adresses des meilleures tables alentour, du bistrot branché aux trois étoiles de palace, du bon japonais à l’italien aux pâtes al dente.
Femmes et hommes d’affaires en déplacement professionnel, couples en week-end, famille en goguette y trouvent vite leurs marques, prêts à adopter le Montesquieu comme pied-à-terre parisien. Un pied-à-terre bienveillant qui accepte les enfants, et les animaux de compagnie de taille raisonnable.
What Else comme lancerait George Clooney !
Hôtel de Montesquieu
8 rue Frédéric Bastiat,
Champs-Élysées,
75008 Paris
www.hoteldemontesquieu.fr
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