L’Hôtel des Academies et des Arts, nouveau Boutique Hôtel dans le 6e arrondissement parisien
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Les hôtels Monsieur deviennent Adresses Hôtels
Adresses, une collection de boutiques hôtels, une succession de coups de cœur guidée par l’envie de créer des lieux uniques à l’image de leur destination. Des lieux comme on les aime, chargés d’histoires, alliant la convivialité d’une maison de famille et le confort d’un hôtel de luxe dans les quartiers les plus courus de Paris et d’ailleurs.
On dîne sous la belle étoile de la Butte Montmartre chez Monsieur Aristide, on s’installe dans une suite mystérieuse, cachée dans le jardin de Monsieur George. A Saint-Tropez, on s’encanaille au bord de l’eau sur un air de jazz à l’hôtel La Ponche.
L’Hôtel des Académies et des Arts, Hôtel Atelier
Pour savoir ce qu’il se passe dans la tête d’un peintre, il suffit de suivre sa main
Henri-George Cluzot, Le mystère Picasso.
Sur la rive gauche, dans le sixième arrondissement de Paris, rue de la Grande Chaumière ouvre un hôtel-atelier, l’Hôtel des Académies et des Arts. Il est au cœur du quartier artistique du Paris de la Belle Epoque, entre Saint-Germain-des-prés et Montparnasse. C’est aujourd’hui un boutique-hôtel 4 étoiles de 20 chambres qui voit le jour dans un immeuble du 19e faisant face à l’Académie de la Grande Chaumière.
Aujourd’hui l’hôtel des Académies et des Arts fait revivre les maisons-ateliers dans lesquelles les artistes travaillaient ensemble, partageaient leurs ateliers, se recevaient entre amis.
Empruntez un livre dans la bibliothèque. Installez-vous dans le grand canapé confortable du salon. Ou servez-vous un verre à l’honesty bar. À l’arrière du salon, un atelier a été aménagé. Il y a là des pinceaux et un chevalet. Des artistes et des voyageurs viennent y dessiner en compagnie des étudiants en Beaux-Arts. À l’Hôtel des Académies et des Arts, vous êtes vraiment chez vous.
Dans les étages, les chambres sont conçues comme des écrins dont les fenêtres s’ouvrent sur les toits de Paris. Pour certaines, des œuvres sont peintes à même les murs. Aucune décoration standardisée ne viendra brider votre imagination vagabonde. L’atmosphère intérieure est presque dépouillée, sans agencement ni décoration superflue. Tous les éléments de mobilier ont été dessinés et conçus sur mesure.
Des tableaux sont posés çà et là, à même le sol. Des toiles peintes à l’huile, gras sur maigre, sèchent sur les clous en fer. Des croquis sont exposés sur les chaises en bois. Les tabourets fleuris de quelques tâches de couleurs. On y cultive le confort et la spontanéité.
Suivez votre main. Laissez libre cours à l’inspiration. L’Hôtel des Académies et des Arts offre un abri pour les rêves.
Bienvenue à l’Hôtel des Académies et des Arts
À l’Hôtel des Académies et des Arts, tout est unique au lieu, les peintures ou mobiliers propres à chaque pièce. Un vent de liberté et de rêverie souffle dès l’entrée. De larges baies vitrées sont ouvertes sur la rue. Elles dévoilent un lieu pluriel où se mêlent les peintres et les voyageurs. Dans le hall, de grandes fresques réalisées au pastel par Franck Lebraly ornent le plafond. Dans un hommage aux cubistes et aux surréalistes, les formes se transforment sans contraintes. Des ronds deviennent soleils, les soleils des yeux, recréant un visage.
Le talochage des murs rappelle les surfaces brutes des ateliers de peinture. Cette sobriété assumée s’équilibre avec les couleurs noires et verts-bronze des velours du canapé du salon. Ce vert chaleureux joue comme un fil conducteur. On le retrouve sur la façade, le tissu du mobilier, les parties communes, les bouts de lit, les tableaux.
Le salon est un lieu de convivialité. Chacun peut s’installer après avoir noté sa consommation dans le carnet. Le bar reste ouvert pour ses hôtes en voyage à Paris. Des expositions et des accrochages d’artistes amis sont organisés dans le salon et la salle de petit déjeuner.
20 chambres, propices à la création, accueillent les voyageurs. Pour la moitié d’entre elles, les plafonds sont dessinés, comme des fenêtres à ouvrir pour l’imagination. On y rêve allongé sur le lit, l’oeil parcourant la ligne des dessins. Des clous en fer faits à la main courent le long des murs, rappelant les accrochages de toiles qui ne sont pas encore encadrées. Des tablettes hautes sont prévues pour accrocher les œuvres ou poser des céramiques. Afin de favoriser le lâcher-prise, il a également été aménagé une salle de massage en sous-sol.
Vous pouvez faire de votre chambre un refuge pour votre imaginaire. Après avoir pris de la hauteur, laissez la sérénité vous habiter. Installez-vous au bureau. Par la fenêtre, votre regard s’évade parmi les toits de Paris. Votre main court sur le carnet de dessin. A l’hôtel des Académies, l’art est une fuite à partir d’un point.
L’hôtel a été dessiné par le cabinet d’architecture d’intérieur Lizée-Hugot. Pour eux, les objets font partie intégrante du lieu et tout est pensé comme un ensemble cohérent. Ils ont ainsi dessiné tout le mobilier : les miroirs, les tables, les plafonniers, les appliques, les tables de chevets et les lampes ont été réalisés par des artisans. Il n’existe que pour l’Hôtel des Académies et des Arts.
Les chambres
L’Hôtel des Académies et des Arts est un boutique hôtel disposant de 20 chambres aux tailles et caractéristiques différentes avec le confort d’un 4 étoiles. Elles ont été pensées comme des ateliers d’artiste rien qu’à soi. La décoration est volontairement brute et épurée. Les murs aux tons crèmes à l’enduit taloché laissent deviner la matière et le relief volontairement accidenté du revêtement. Ils contrastent avec les mobiliers en bois et en inox. La part belle est donnée aux matières fortes et au travail de l’artisan. Elles ne sont pas sans rappeler la Chambre du peintre de Van Gogh.
L’oeil du voyageur est volontairement accroché par des éléments forts. Ils sont autant d’accidents venant équilibrer le caractère presque dépouillé des chambres. Des œuvres pensées et dessinées spécialement pour chaque chambre de l’hôtel, également quelques pièces de galeries ponctuent le lieu. Dans certaines pièces, c’est le choix d’une couleur franche : un tabouret au tissu rayé noir et rouge vif, le rond bleu d’un cadre moderniste…
Elles sont un écrin. Les matériaux bruts non transformés ont été privilégiés. Les enduits ont été faits à la chaux. Les têtes de lit en chêne à noeuds teintés ont été façonnées dans des lignes franches pour intégrer l’atmosphère des chambres. En bout de lit, un plaid en feutre vient en écho aux tentures murales en soie à fines rayures fauve ou bleu ciel. Le mobilier, dessiné sur mesure, est installé dans les chambres comme une composition.
De longues tablettes hautes en bois courent le long des murs, sur lesquelles des œuvres d’arts sont posées en collaboration avec Galerie Française : dessins académiques, nus, anciennes photos, céramiques. Dans certaines chambres, les lits sont en partie logés dans des alcôves en chêne. D’autres avec des tentures murales en soie. Des salles de bains en terre cuite émaillée crème et noir rappellent les immeubles parisiens des années 1900 ou 1920. Elles possèdent des douches ou des baignoires et certaines sont ouvertes sur la chambre.
Côté cour, un homme en blanc, pochoir de l’artiste Jérôme Messager, court sur toute la hauteur du mur. Sur près de 10 mètres, les fenêtres s’ouvrent sur une partie de l’œuvre. Deux chambres disposent d’une terrasse végétalisée sur le patio. Comme un clin d’oeil aux fresques de Franck Lebraly, elles sont décorées de mobiliers-poisson.
Aux derniers étages, rue de la Grande Chaumière, les fenêtres donnent sur les toits de Paris et les ateliers vitrés de l’Académie des arts. Une jardinière fleurie à la parisienne s’accroche à la balustrade. La chambre est baignée de lumière.
Les chambres fresques
Les fresques de l’hôtel ont été réalisées par l’artiste Franck Lebraly. Après avoir exercé pendant plus de quinze années comme directeur artistique à Paris, il se consacre désormais exclusivement au dessin. Amateur de grande surface, il a notamment réalisé des fresques pour l’hôtel Le Sud à Juan Les Pins qui ont contribué à sa renommée.
A l’hôtel des Académies et des Arts, Franck a, avant tout, rendu hommage aux grandes thématiques de Picasso, notamment les figures de femmes, les déjeuners sur l’herbe, et les tons bleus et roses. Dans le lobby, les hôtes pourront embrasser d’un seul regard les sujets des fresques des différentes chambres en une seule unité graphique.
Dans 10 chambres de l’hôtel, des fresques ont été dessinées à même le plafond. Franck Lebraly s’est inspiré des motifs chers aux cubistes et aux surréalistes avec des clins d’oeil à Picasso et Delaunay. À la manière des travaux préparatoires des peintres, les plafonds s’ornent d’esquisses et d’études sur les formes.
Les éléments restent simples. L’oeil du voyageur, allongé sur le lit, y suit sa propre histoire. En hommage aux artistes qui fréquentaient les lieux, le pastel, propice aux études sur grands formats, a été utilisé pour les fresques. A l’instar de la décoration de l’hôtel, chaque fresque a été pensée selon la chambre, son volume, sa lumière. Les plafonds deviennent des toiles où l’on peut s’évader.
Au premier étage, on découvre une partie de pêche à la campagne, thème affectionné par les peintres de la Belle Époque. De larges à-plats faits au doigt où les arbres et les soleils se mélangent. Au deuxième étage, une nature morte de fleurs dans un pot suscite la réflexion sur les vides et les espaces. Un étage au-dessus, c’est une vaste feuillage d’acanthes, dont les motifs rappellent la Méditerranée et les formes propres à la mythologie. Le dessin a été fait en un seul trait sans poser le crayon.
Au quatrième étage, le soleil se fait plus présent et les pastels tendres et secs se mêlent dans un déjeuner sur l’herbe. A la manière des études de partie de campagne, les formes sont juste suggérées. Au dernier étage, des tons bleus et roses rappellent l’inspiration du Sud et les sujets chers aux surréalistes : les citrons et les coqs, les silhouettes de femmes. Et les poissons s’étirant comme un oeil allongé.
Franck Lebraly a grandi près de Vallauris, où son père restaurait des objets d’art, dont des poteries de Pablo Picasso. Influencé par les cubistes et les surréalistes, il affine avec les années un trait sous l’esprit de Léger ou Cocteau.
Il s’exprime en utilisant des motifs symboliques épurés afin de laisser place à l’imagination de celui qui regarde. Le pastel lui permet de garder une approche instinctive pour que le crayon soit un prolongement de la main. Il noue une sorte de dialogue improvisé avec la surface qu’il peint. Où les motifs se transforment. Comme une ode à la liberté. Et inciter chacun à se laisser aller à son propre style.
Le Café-Atelier
Dans une pièce rectangulaire, une grande table de 10 mètres de long est posée sur des tréteaux. Un puits de lumière éclaire l’atelier. Du matériel d’arts plastiques est mis à disposition de ceux qui souhaitent venir y peindre ou dessiner. Au-dessus de la table prend place une installation d’œuvres d’art composée à la fois de tableaux, croquis, esquisses, mais aussi de papiers artisanaux ou anciens.
Les artistes de passage comme les étudiants sont les bienvenus. Des cours d’initiation et de perfectionnement aux arts appliqués sont organisés conjointement avec l’Académie : dessin académique, croquis, sculpture, et photographie.
Vous pouvez également vous installer sur un chevalet le temps d’un croquis ou pour finir une œuvre. Le salon est élégant et joyeux. Il invite à la convivialité et à la spontanéité. Un grand lit de jour fait office de canapé. Les fauteuils et tables basses sont autant d’objets d’art créés spécialement. Des expositions ou des accrochages temporaires sont organisés mettant en valeur des peintres et dessinateurs. Le salon est le rendez-vous des habitués de l’Académie. Un honesty bar accueille les voyageurs et les artistes voisins pour le thé. Chacun note librement ses consommations et prépare ses boissons. Une sélection de gourmandises de grande qualité est proposée, cakes, financiers, madeleines. Élaborée à partir de fruits de saisons et sans colorant par Kevin Lacote, ancien chef pâtissier de Yannick Alleno et de La Grande Cascade.
Pour le petit déjeuner, les hôtes sont reçus entre le salon et l’atelier sur des tables en bois dessinées sur mesure. Il y est servi un petit déjeuner continental. Le café est torréfié par Lomi et les fruits et légumes sont fournis par le maraîcher Charraire.
Au sous-sol, une salle de relaxation et de massage. Les activités du Spa sont organisées avec le célèbre Tigre Yoga Club. Il est proposé tapis de yoga, table de massages pour les soins et sur demande, des cours de yoga individuel.
Les années folles de la rue de la grande chaumière
L’immeuble abrite un hôtel depuis au moins un siècle et demi. Son histoire se
mêle à celle de la vie artistique de Paris et notamment du début du XXe siècle quand la capitale française est également celle des arts. Aujourd’hui la rue de la Grande Chaumière abrite la dernière académie d’art et de peinture de Paris.
Ainsi, et comme les autres lieux de la Collection des hôtels Adresses, l’Hôtel des Académies et des Arts se veut en harmonie avec l’âme du quartier dans lequel il s’installe. Modigliani, qui habitait la rue, avait installé son atelier au dernier étage de l’hôtel. Fujita, à son arrivée à Paris depuis le Japon, s’est installé dans l’hôtel. Il rencontre Paul Gauguin qui revient de Tahiti, dans le restaurant crémerie à côté, Chez Charlotte. Leur amitié va naître ici entre le 13 et le 15 rue de la Grande Chaumière. Les deux artistes, sans-le-sou, règlent régulièrement leurs notes à l’aide de quelques toiles et esquisses. « Chez Charlotte » sera le repère des artistes des années folles. Zadkine, Mucha ou Fernand Leger y avaient aussi leurs habitudes. Picasso résidait non loin.
Ils fréquentaient comme élèves ou professeurs les deux Académies de la rue : l’Académie Colarossi, créée en 1870, où l’on pouvait croiser Rodin et Camille Claudel. La légendaire Académie de la Grande Chaumière accueillait Bernard Buffet, Léger, Fujita. Les peintres de l’Ecole de Paris avaient élu résidence entre le café de La Coupole et le jardin du Luxembourg.
Les marchands de couleurs, comme ils se faisaient appeler à l’époque, avaient installé leurs échoppes dans la rue. Il en subsiste encore deux qui témoignent de cette époque et perpétuent la tradition artistique du quartier : Gategno et Sennelier.
A l’angle avec le boulevard Montparnasse, il se tenait un marché aux modèles où de jeunes hommes et femmes se pressaient pour poser devant les Maîtres en l’échange de quelques pièces.
Un hôtel mécène des arts
L’hôtel, fidèle à son histoire, est protecteur des arts. Des œuvres de jeunes artistes sont acquises régulièrement. Leur travail est mis en avant par des expositions au sein de l’hôtel. Les voyageurs peuvent se porter acquéreurs des œuvres, faisant de l’hôtel une galerie vivante pour les peintres, céramistes, dessinateurs ou sculpteurs contemporains.
L’Hôtel des Académies et des Arts a ainsi passé commande auprès de cinq artistes pour son inauguration.
Une grande œuvre de Maximilien Pellet. Ce jeune céramiste parisien a remporté de nombreux prix, notamment pour ses compositions murales de très grand format, essentiellement figuratives. Son travail a fait l’objet d’expositions personnelles à Pantin, Orléans et Paris, notamment à la Galerie Double V. Il a créé pour l’hôtel un panneau en faïence réalisé à partir d’un dessin original.
Des collages de Charlotte Culot intègrent la collection de l’hôtel. Passionnée de matériaux et de couleurs, elle construit ses peintures comme des objets d’architecture, sous forme de collage, en assemblant des morceaux de couleurs découpés.
Caroline Leseur est une artiste autoditacte. Elle développe son travail pictural sur toile et sur papier. Celui-ci se situe dans le courant de l’abstraction à dominante géométrique et représente une quête constante d’équilibre entre la forme, la matière et la couleur. La question du cadre et de l’entrée de la lumière sur la toile revêt une importance capitale dans l’ensemble de ses compositions qui, toile après toile, tendent vers plus de fluidité de forme et de minimalisme dans le geste.
Des œuvres d’Edith Beurskens conçues à l’imprimante 3D seront exposées. Cette artiste basée à Amsterdam utilise ce médium de manière créative dans des compositions géométriques jouant des ombres et des lumières.
On pourra également admirer l’énergie brute d’une sculpture de Marie-Laure André-Novak : Miss XY. Ses œuvres en bois s’inspirent des totems de l’art primitif. Ils racontent des histoires de vie, d’amour et de l’origine de l’homme. Tout à la fois symboles des ethnies en voie de disparition et des civilisations perdues.
Les clients pourront également participer chaque jour à un cours sur modèle vivant en partenariat avec l’Académie de la Grand Chaumière, sur le trottoir d’en face. Ou un cours individuel dans l’atelier de l’hôtel.
Imaginé par Lizée Hugot
L’hôtel des Académies et des Arts a été conçu par le duo Stéphanie Lizée et Raphael Hugot. Après plusieurs années de collaboration dans différentes agences parisiennes, ils créent leur propre studio d’architecture. Ils sont notamment à l’originie de la naissance de l’hôtel Le Sud à Juan-les-Pins.
Ils s’attachent à donner une âme aux lieux sans rien imposer ni prescrire pour autant. La place délibérément laissée aux accidents font la force et l’authenticité de leurs réalisations. Leur ambition est de raconter une histoire des lieux. Chaque projet dialogue avec son histoire et son environnement.
Pour cela, Stéphanie Lizée affectionne la recherche de matières et de savoir-faire, la sélection de pièces uniques, le dessin de mobilier sur mesure et la maîtrise des contrastes décoratifs. Son approche de l’architecture d’intérieure a fait de Stéphanie Lizée le partenaire naturel pour un hôtel comme celui des Académies et des Arts, mettant en avant la liberté et la créativité. Comme un clin d’oeil du destin, Stéphanie a été élève de l’Académie Charpentier spécialisée en architecture d’intérieure de la rue de la Grande Chaumière.
Lizée et Hugo recherchent l’équilibre et la précision, notamment en dessinant la majorité du mobilier, afin de donner au lieu une identité propre. Leur approche est également guidée par l’instinct. Des couleurs affranchies et assumées, la confrontation et la juxtaposition de matériaux, la curation de pièces uniques et la quête d’artisans hors pair. Des références artistiques majeures infusent également leurs réalisations.
L’hôtel des Académies et des Arts en chiffres clés
- 20 chambres, dont 2 avec patio
- 4 étoiles
- 12 plafonds dessiné par Franck Lebraly
- 1 Atelier de peinture et de dessin
- 125 mobiliers sur mesure
- 1000 clous en fer pour accrocher vos œuvres
- 2021 ouverture en novembre
- 6 cours de dessins et de peinture par semaine
- 1 salon bien-être
- 1 chambre anciennement atelier de Modigliani
Hôtel des Academies et des Arts Paris
15 rue de la Grande Chaumière, Paris 6
www.hoteldesacademies.fr
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